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Informations, conseils et ExoStim dans la presse
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Testés par la science : 9 remèdes aux troubles cognitifs passés au crible

Saviez-vous que 70 % des Français sont terrorisés à l’idée de contracter la maladie d’Alzheimer ? Pourquoi cette pathologie arrive-t-elle en seconde position — derrière le cancer et à égalité avec les AVC — dans le classement des affections les plus effrayantes ? Peut-être parce qu’elle est la plus grande menace à notre autonomie !

Dans un monde qui a érigé l’autonomie comme une liberté fondamentale, la peur d’une perte irrémédiable est le pire des maux. Et malheureusement, cette terreur fait le bonheur de marchands de miracles qui proposent des trucs préventifs ou curatifs à l’efficacité plus que douteuse. Les troubles cognitifs et les moyens de s’en prémunir font l’objet d’affirmations parfois utiles, mais quand même souvent erronées, voire franchement fallacieuses. Les arrangements avec la vérité ne profitent pas toujours aux personnes atteintes par cette pathologie.

Chez ExoStim, nous sommes obsédés par la preuve scientifique. Aussi, afin de vous éviter toute déconvenue avec des placebos, nous vous proposons aujourd’hui de découvrir si les 9 plus célèbres remèdes aux troubles cognitifs sont réellement efficaces. Surprises garanties.

Perdre la mémoire en vieillissant, c’est normal ?

Oui, c’est normal… dans une certaine mesure !

Il est naturel que certaines des fonctions du cerveau déclinent avec l’âge. Même en l’absence d’une maladie d’Alzheimer. C’est ce qu’indiquent les résultats d’une étude menée par des chercheurs de l’Université de Harvard auprès d’adultes âgés de 60 à  93 ans.

Les scientifiques américains ont eu recours à  des IRM pour observer les modifications normales qui surviennent dans le cerveau d’une personne vieillissante en bonne santé. Ils rapportent avoir constaté une détérioration du synchronisme entre les régions antérieure et postérieure du cerveau. Ce déclin de la synchronisation s’expliquerait par la détérioration normale de la matière blanche, une structure cérébrale faite de fibres nerveuses chargées de véhiculer l’information entre les différentes parties du cerveau.

Parler deux langues retarde la démence ?

Incroyable, mais vrai ! Les premiers signes de démence surviendraient quatre ans plus tôt chez les personnes unilingues, comparativement à celles qui parlent plus d’une langue au quotidien. Des scientifiques canadiens affirment que le bilinguisme — peu importe les deux langues parlées — s’avère plus efficace que n’importe quel médicament pour ralentir le déclin cognitif.

Chez les personnes bilingues, le cerveau doit déployer un effort additionnel pour passer d’une langue à  l’autre, soutient Ellen Bialystok de l’Université York, à Toronto. Cet effort augmente l’apport sanguin au cerveau, assurant ainsi un meilleur fonctionnement des connexions nerveuses.

Testez votre mémoire avec la nouvelle application Exostim !

26 Oct Presse
prevenir-maladie-alzheimer-grace-stimulation-cognitive
Prévenir la maladie d’Alzheimer grâce à la stimulation cognitive.

Pathologie neurodégénérative, la maladie d’Alzheimer entraîne des troubles cognitifs et la perte de la mémoire chez le sujet âgé. À l’heure actuelle, il n’existe aucun traitement curatif. Pour lutter et prévenir cette pathologie, pratiquer une stimulation cognitive régulière est hautement recommandée. Prise en charge non médicamenteuse avec des résultats efficaces, cette sollicitation, souvent réalisée par l’aidant, consiste à faire travailler le cerveau du patient à l’aide d’exercices et de mises en situation.

La stimulation cognitive pour prévenir ou ralentir Alzheimer

Afin de retarder les effets du vieillissement et de maintenir ses capacités intellectuelles, à tout âge, il est recommandé de stimuler ses fonctions cérébrales à l’aide d’apprentissages et d’activités variées. Non sollicité, le cerveau a tendance à perdre des connexions et à décliner.

Dans la cadre de la maladie d’ Alzheimer, la stimulation cognitive constitue un enjeu majeur de prévention mais aussi de ralentissement dans la progression de la maladie. Son approche pédagogique globale permet de préserver la plasticité cérébrale en tenant compte des problématiques cognitives, psychologiques et sociales de la personne âgée. La mise en place d’exercices, de jeux ou d’autres activités sous forme d’ateliers permettant de faire travailler le cerveau donnent d’excellents résultats.

Pour les malades, cette stimulation vise plusieurs objectifs. D’une part, les exercices permettent de ralentir le déclin de la mémoire (visuelle, spatiale et/ou auditive) mais aident également à améliorer les facultés d’adaptation et de concentration des seniors. Cette sollicitation cérébrale peut également aider à détecter les signes de toute autre pathologie concomitante liée à l’âge, permettant ainsi de prendre les mesures adéquates pour retarder son évolution. Par ailleurs, ces activités intellectuelles, agissent sur la capacité des patients à maintenir un lien social ainsi qu’à réguler leurs troubles de l’humeur, ceux-ci gagnant en autonomie et retrouvant l’estime de soi.

La stimulation cognitive, les exercices

La stimulation cognitive est efficace si elle est bien adaptée au profil de la personne âgée. Il est important de tenir compte de ses envies mais aussi de ses capacités intellectuelles. La participation et la réussite de l’exercice y sont à chaque fois valorisées et le malade félicité afin de renforcer sa confiance en lui. Il est conseillé de varier les activités proposées aux seniors afin de mobiliser l’ensemble de ses fonctions cérébrales. Plusieurs types d’exercices sont possibles :

  • Des jeux de réflexion : mots croisés, jeux de logique, puzzles…
  • Des ateliers de compréhension : lecture de journaux, de romans, atelier d’écriture…
  • Des activités créatives : peinture, musique, modelage…
  • Les activités d’orientation : promenade, danse, sorties…

Dans le cadre de la sensibilisation et de la prévention de la maladie d’ Alzheimer, ces activités qui maintiennent la bonne santé des vaisseaux et entretiennent la plasticité cérébrale sont particulièrement adaptées. Qu’elles se déroulent sous forme d’ateliers, de jeux de société mais aussi via une application pour tablette et smartphone, la stimulation cognitive est essentielle dans la prise en charge de cette pathologie. Ludiques, faciles à mettre en place et à prendre en main, développant un ensemble de solutions variées, les nouvelles technologies sont devenues un outil essentiel dans l’accompagnement des malades de troubles cognitifs.

Des applications numériques, à l’instar d’ExoStism, permettent de pratiquer des exercices ludiques adaptés à différents niveaux cognitifs. Développée à destination des psychologues, ergothérapeutes, psychomotriciens et autres professionnels paramédicaux, cette solution permet d’accompagner des malades seuls ou en groupe, à domicile ou en structure médicalisée, selon un programme (préconisé, à la carte ou aléatoire) personnalisé en fonction de leur profil. Reconnu comme un véritable dispositif médical, ce coach cérébral permet de stimuler la cognition (mémoire, attention, langage…) et de lutter contre les troubles du comportement. Disponible sur tablette (iOS et Android), ExoStim bénéficie d’un accompagnement (formation et suivi opérationnel).

À noter : Réalisée par un personnel spécialisé, souvent l’aidant, la stimulation cognitive se pratique individuellement ou en petits groupes homogènes aux stades léger à modéré de la maladie.

26 Oct Particulier
fonctions-cognitives-est-ce-servent-elles-est-il-important-stimuler
Les fonctions cognitives, qu’est-ce que c’est ? A quoi nous servent-elles ? Pourquoi est-il si important de les stimuler ?

Les fonctions cognitives sont les capacités de notre cerveau à entrer en interaction et à s’adapter à
notre environnement.
Elles permettent de percevoir, de se concentrer, d’acquérir des connaissances, de raisonner, de
s'adapter et d’interagir avec les autres.

Les fonctions cognitives recouvrent :


Les fonctions instrumentales
Elles regroupent le langage, les gnosies (connaissances) praxies (savoir-faire, gestes) ; les fonctions
visuo - spatiales(repérage et adaptation de notre corps/ des objets dans l’espace) ; la mémoire et
l’attention.
Elles permettent d’analyser la situation et d’ajuster la conduite à tenir.

Les fonctions exécutives
Elles témoignent de la capacité de chacun d’entre nous à s’adapter à de nouvelles situations et, pour
cela, sortir de notre zone de confort, de nos habitudes routinières afin que notre niveau de vigilance
et d’attention soient maximales.

La mémoire

C’est la capacité de retrouver l’information contenue dans un message précédemment vécu en
l’absence de celui-ci ou de reconnaitre cette information parmi d’autres.
La mémoire est une de ces fonctions cognitives. Elle peut être de deux types :
• La mémoire explicite ou déclarative, qui comporte nos connaissances sur le monde, nos
souvenirs personnels, les repères temporaux ainsi que les contextes affectifs et émotionnels.
Elle regroupe l’apprentissage du « quoi ». (ex : je connais les dates d’anniversaire de mes
proches, je retiens sans efforts les titres des films que je vois, les noms et les visages de
connaissances lointaines, les souvenirs de vacances...)
• La mémoire implicite ou procédurale, qui retient les savoir-faire et les compétences, pour
appliquer les connaissances de manière automatique et inconsciente. Elle rassemble quant à
elle l’apprentissage du « comment ». ( ex : habitudes quotidiennes ; cuisiner, conduire )

Pour mieux comprendre, prenons exemple dans notre vie quotidienne.

Ce matin, je me lève, petit déjeuner, douche, habillage fonctions instrumentales (les gestes
« praxies » ; fonctions visuo -spatiales ; ), (mémoire procédurale habitudes et actions automatiques),
départ pour un trajet estimé à 45 minutes bouchons inclus, pour une journée de travail anticipée
(gnosies), planifiée (capacité visuo- spatiales ; calcul) .

(Exemple de mise à l’épreuve des fonctions exécutives)
Patatras, deux élagueurs bouchent la sortie de mon chemin, plus loin travaux et feux alternés,
ralentissements (perception, attention, analyse), 15 min de retard assuré (calcul ; connaissance des
repères temporaux, anticipation) si mon cerveau n’invente pas une autre solution. Fonctions
exécutives (résolution de problème, concentration, prise de décision, organisation et planification) ;
Un moment l’idée de griller un feu orange m’effleure, mais non (inhibition), et hop option autoroute
à péage pour finalement arriver à l’heure, ouf ;( raisonnement ; prise de décision ; action).

(Explication/ exemple des Fonctions Instrumentales)
C’est mon tour d’emmener les enfants à l’école et la vigilance absolue ! : voitures des parents
stationnées en double file, enfants qui traversent en courant hors passage piétons (attention) .Devant
moi, au rond-point je reconnais( mémoire explicite perceptive) la voiture du grand père de Maxime :
freinage anticipé, lenteur d’exécution, pas de contrôles des angles morts, hésitation à s’engager,
klaxons des autres automobilistes et c’est en professionnelle que je réagis : vigilance, tolérance et
respect ; c’est normal et lié à l’âge car sa capacité d’adaptation est moins fluide en raison de la
diminution des capacités multiples de ce senior, le plus stressé de nous tous, c’est sûrement lui !
Sur le trajet je passe en revue la journée de travail qui m’attend : (mémoire ; visualisation ;
organisation) Appel important à un client à 14h ; envoi d’une dizaine de mails ; poser mes congés
(Visualisation/ anticipation).

Fin de journée, heure des courses. Oui je les fais le mercredi car je sais qu’il y a des promotions
(mémoire explicite épisodique). Bien sûr j’ai oublié la liste à la maison je vais donc devoir me
débrouiller ! Pas de problème je connais le magasin par cœur et je ferai mon trajet habituel ; mais
non ! ils ont changé l’implantation de mes rayons habituels ! (Manipulation mentale ; structuration
spatiale), il faut donc que je me remémore ce que j’ai écrit (concentration ; mémoire de travail ; image
mentale) pour ne rien oublier. Mais à coups surs une fois arrivée à la maison j’aurai oublié un article !
Dans tout ce chamboulement, ma capacité attentionnelle si sollicitée aujourd’hui, montre ses limites
en fin de journée.
Vivement l’heure d’aller me coucher !

Autant d’exemples de nouvelles situations partagées de tous que nos capacités cognitives aident à
affronter sans encombre et dans l’exercice de notre autonomie.
Malheur, le chat a sauté sur la table et a renversé ma tasse de café sur un document important alors
que je suis prête à partir...

Long entretien téléphonique avec un client...et la crèche qui ferme dans 5 minutes...
Je vais me coucher, fatiguée, appel de la meilleure amie en pleine déprime...
Un dîner chez des amis en pleine campagne, hors réseau, GPS muet...je suis complètement perdue

Du lever au coucher, nous les sollicitons pour faire face à tous les aléas, aux imprévus qui ne manquent
pas de se présenter et nous obligent à sortir de notre routine ; ces imprévus vont mettre à l’épreuve
notre humeur et notre capacité à y faire face, donc notre (fonctions exécutives) flexibilité. Il y a des
jours où il est parfois plus difficile de garder son calme, la fatigue, par exemple peut nous rendre moins
flexible et irritable, alors qu’un autre jour, reposés, nous serons plus à même de les gérer.

Nos journées paraissent parfois routinières et banales mais quand l’imprévu s’invite il nous offre son
lot de surprise que nous recevons et analysons selon nos dispositions du moment.
Quand nos fonctions cognitives font défaut nous ne sommes plus en mesures de maintenir notre
autonomie dans une journée dite « banale » et chaque nouvelle situation est une épreuve.
Connaissance et réception de l’information sont (fonctions instrumentales) biaisées ; donc les
capacités d’adaptation face à une nouvelle situation (fonctions exécutives) inadaptées.

Alors si vous voulez maintenir votre autonomie et repousser le déclin à plus loin, n’hésitez pas à sortir
des sentiers battus ! Vous renforcerez vos performances cognitives.
Voilà pourquoi chez ExoStim nous avons le souci de vous accompagner dans la stimulation cognitive
pour maintenir les capacités cognitives mais aussi repousser le déclin dans une démarche préventive.
Ainsi notre application ExoStim vous propose un véritable coach cérébral.

Dans l’application ExoStim nous avons choisi de décliner les 31 fonctions cognitives évaluées sous
forme de 5 thématiques :


- Fonctions instrumentales
- Langage
- Fonctions exécutives
- Fonction visuo spatiale
- Mémoire

Pratiquer régulièrement des jeux de mémoire est primordial pour entretenir et améliorer ses fonctions
cognitives.

A vous de Jouer !

Regardez bien cette image ...

... et mémorisez...

Qu’est-ce qu’il se passe quand je retiens une information ?


1) l’encodage (identifier l’information à retenir)
2) Le stockage (la manière dont on va retenir l’information)
3) La récupération (aller chercher « dans un coin de sa tête » l’information retenue)
4) La consolidation (période durant laquelle le cerveau répète l’information retenue) D’où l’importance
de la répétition ! régularité !

Petit test (à proposer sur une page différente de la précédente) : Pouvez-vous me citer 4 objets
représentés dans l’image du cortex cérébral imagé, représenté précédemment ? (SANS TRICHER !)

29 Oct Fiches pédagogiques
exostim-provence-parution-17-11-2022
ExoStim dans La Provence ! Parution du 17/11/2022

Le premier article officiel du lancement de la nouvelle application ExoStim dans le journal La Provence !


25 Nov ExoStim
parce-prevenez-etes-vieux
Ce n'est pas parce que vous prévenez que vous êtes vieux !

Je les entends penser mes amis quinquas !

Ils sont super fiers de voir mon engagement avec ExoStim.

ExoStim, tous en sont convaincus mais pour leur parent !

  • « Oui ma mère ne m’écoute pas, elle perd la mémoire, elle me fait répéter. »
  • « Mon père a des absences, je vois bien qu’il n’est pas concentré lorsque je lui parle. »
  • « Mes parents perdent la boule depuis qu’ils sont à la retraite. »

Oui, mais, mes chers amis, vos parents c’était vous, il y a 20 ans !

Vos parents ne se sentaient pas concernés à cette époque. Actifs, sportifs, travailleurs.

Quel intérêt de prévenir un déclin cognitif qui ne se voit pas ?

Parce que mes chers amis, savez vous que le déclin cognitif débute vers l’âge de 45 ans ?

Alors on ne s’en rend pas compte car on travaille, la vie sociale est bien présente, mais les cellules elles « dégénèrent ». Imaginez une fois à la retraite… Plus aucune activité professionnelle, moins d’interactions sociales, moins la possibilité de se stimuler au quotidien. Pour beaucoup c’est un choc ! Et ce choc est parfois si violent que les fonctions cognitives qui n’ont pas été stimulées jusque-là, déclinent en un rien de temps.

Prévenir des trucs de vieux c’est utile ! Nous y passerons tous. 

Peut être sommes nous conditionnés par ce Marketing qui veut à tout prix nous rendre plus jeune. Solution anti-âge (quésaquo ? qu’est ce qui empêche de vieillir ?), crème Anti Ride (non c’est pas vrai, à moins de faire quelques injections.)

Même le marché du naturel s’y met, alors que, quoi de plus naturel de vieillir et bien !


Vieillir est une belle chose inévitable mais ça s’entretient ! Ne luttons pas contre le vieillissement, accompagnons le. 1 français sur 2 est inquiet pour son propre vieillissement cognitif. La fameuse peur de l’Alzheimer. Mais ce même français, a peur de paraître vieux s’il répond à son inquiétude.

Je dis Stop !

Vous n’attendez pas de vous casser une jambe pour faire du sport ? Vous le sentez? Qu’il est un plus plus dur de se déverrouiller le matin au réveil ?. Et si vous ne faites rien, ce sera de plus en plus difficile de se lever. Pour vos neurones c’est pareil ! Entretenez les, faites les bouger et pas que là ou ça vous fait plaisir. Car les applications comme Candy Crush, les mots croisés, les sudokus ne stimulent qu’une infime partie de votre cerveau.

Or, pour reculer ce déclin vous devez tout faire travailler. Reculer le déclin de la mémoire, de l’attention, du repérage dans l’espace. Variez votre stimulation et au plus tôt !

Faisons en sorte que nos enfants ne nous voient pas comme nous voyons nos parents aujourd’hui.

Alors mes chers amis, mes futurs vieux, ne nous oublions pas, et faisons de notre vieillissement une belle étape de vie !

Ecrit par Jennifer Benattar, Directrice Générale ExoStim

15 Dec Particulier
testes-science-9-remedes-troubles-cognitifs-passes-crible
Testés par la science : 9 remèdes aux troubles cognitifs passés au crible

Saviez-vous que 70 % des Français sont terrorisés à l’idée de contracter la maladie d’Alzheimer ? Pourquoi cette pathologie arrive-t-elle en seconde position — derrière le cancer et à égalité avec les AVC — dans le classement des affections les plus effrayantes ? Peut-être parce qu’elle est la plus grande menace à notre autonomie !

Dans un monde qui a érigé l’autonomie comme une liberté fondamentale, la peur d’une perte irrémédiable est le pire des maux. Et malheureusement, cette terreur fait le bonheur de marchands de miracles qui proposent des trucs préventifs ou curatifs à l’efficacité plus que douteuse. Les troubles cognitifs et les moyens de s’en prémunir font l’objet d’affirmations parfois utiles, mais quand même souvent erronées, voire franchement fallacieuses. Les arrangements avec la vérité ne profitent pas toujours aux personnes atteintes par cette pathologie.

Chez ExoStim, nous sommes obsédés par la preuve scientifique. Aussi, afin de vous éviter toute déconvenue avec des placebos, nous vous proposons aujourd’hui de découvrir si les 9 plus célèbres remèdes aux troubles cognitifs sont réellement efficaces. Surprises garanties.

Perdre la mémoire en vieillissant, c’est normal ?

Oui, c’est normal… dans une certaine mesure !

Il est naturel que certaines des fonctions du cerveau déclinent avec l’âge. Même en l’absence d’une maladie d’Alzheimer. C’est ce qu’indiquent les résultats d’une étude menée par des chercheurs de l’Université de Harvard auprès d’adultes âgés de 60 à  93 ans.

Les scientifiques américains ont eu recours à  des IRM pour observer les modifications normales qui surviennent dans le cerveau d’une personne vieillissante en bonne santé. Ils rapportent avoir constaté une détérioration du synchronisme entre les régions antérieure et postérieure du cerveau. Ce déclin de la synchronisation s’expliquerait par la détérioration normale de la matière blanche, une structure cérébrale faite de fibres nerveuses chargées de véhiculer l’information entre les différentes parties du cerveau.

Parler deux langues retarde la démence ?

Incroyable, mais vrai ! Les premiers signes de démence surviendraient quatre ans plus tôt chez les personnes unilingues, comparativement à celles qui parlent plus d’une langue au quotidien. Des scientifiques canadiens affirment que le bilinguisme — peu importe les deux langues parlées — s’avère plus efficace que n’importe quel médicament pour ralentir le déclin cognitif.

Chez les personnes bilingues, le cerveau doit déployer un effort additionnel pour passer d’une langue à  l’autre, soutient Ellen Bialystok de l’Université York, à Toronto. Cet effort augmente l’apport sanguin au cerveau, assurant ainsi un meilleur fonctionnement des connexions nerveuses.

Testez votre mémoire avec la nouvelle application Exostim !

26 Oct Presse
fonctions-cognitives-est-ce-servent-elles-est-il-important-stimuler
Les fonctions cognitives, qu’est-ce que c’est ? A quoi nous servent-elles ? Pourquoi est-il si important de les stimuler ?

Les fonctions cognitives sont les capacités de notre cerveau à entrer en interaction et à s’adapter à
notre environnement.
Elles permettent de percevoir, de se concentrer, d’acquérir des connaissances, de raisonner, de
s'adapter et d’interagir avec les autres.

Les fonctions cognitives recouvrent :


Les fonctions instrumentales
Elles regroupent le langage, les gnosies (connaissances) praxies (savoir-faire, gestes) ; les fonctions
visuo - spatiales(repérage et adaptation de notre corps/ des objets dans l’espace) ; la mémoire et
l’attention.
Elles permettent d’analyser la situation et d’ajuster la conduite à tenir.

Les fonctions exécutives
Elles témoignent de la capacité de chacun d’entre nous à s’adapter à de nouvelles situations et, pour
cela, sortir de notre zone de confort, de nos habitudes routinières afin que notre niveau de vigilance
et d’attention soient maximales.

La mémoire

C’est la capacité de retrouver l’information contenue dans un message précédemment vécu en
l’absence de celui-ci ou de reconnaitre cette information parmi d’autres.
La mémoire est une de ces fonctions cognitives. Elle peut être de deux types :
• La mémoire explicite ou déclarative, qui comporte nos connaissances sur le monde, nos
souvenirs personnels, les repères temporaux ainsi que les contextes affectifs et émotionnels.
Elle regroupe l’apprentissage du « quoi ». (ex : je connais les dates d’anniversaire de mes
proches, je retiens sans efforts les titres des films que je vois, les noms et les visages de
connaissances lointaines, les souvenirs de vacances...)
• La mémoire implicite ou procédurale, qui retient les savoir-faire et les compétences, pour
appliquer les connaissances de manière automatique et inconsciente. Elle rassemble quant à
elle l’apprentissage du « comment ». ( ex : habitudes quotidiennes ; cuisiner, conduire )

Pour mieux comprendre, prenons exemple dans notre vie quotidienne.

Ce matin, je me lève, petit déjeuner, douche, habillage fonctions instrumentales (les gestes
« praxies » ; fonctions visuo -spatiales ; ), (mémoire procédurale habitudes et actions automatiques),
départ pour un trajet estimé à 45 minutes bouchons inclus, pour une journée de travail anticipée
(gnosies), planifiée (capacité visuo- spatiales ; calcul) .

(Exemple de mise à l’épreuve des fonctions exécutives)
Patatras, deux élagueurs bouchent la sortie de mon chemin, plus loin travaux et feux alternés,
ralentissements (perception, attention, analyse), 15 min de retard assuré (calcul ; connaissance des
repères temporaux, anticipation) si mon cerveau n’invente pas une autre solution. Fonctions
exécutives (résolution de problème, concentration, prise de décision, organisation et planification) ;
Un moment l’idée de griller un feu orange m’effleure, mais non (inhibition), et hop option autoroute
à péage pour finalement arriver à l’heure, ouf ;( raisonnement ; prise de décision ; action).

(Explication/ exemple des Fonctions Instrumentales)
C’est mon tour d’emmener les enfants à l’école et la vigilance absolue ! : voitures des parents
stationnées en double file, enfants qui traversent en courant hors passage piétons (attention) .Devant
moi, au rond-point je reconnais( mémoire explicite perceptive) la voiture du grand père de Maxime :
freinage anticipé, lenteur d’exécution, pas de contrôles des angles morts, hésitation à s’engager,
klaxons des autres automobilistes et c’est en professionnelle que je réagis : vigilance, tolérance et
respect ; c’est normal et lié à l’âge car sa capacité d’adaptation est moins fluide en raison de la
diminution des capacités multiples de ce senior, le plus stressé de nous tous, c’est sûrement lui !
Sur le trajet je passe en revue la journée de travail qui m’attend : (mémoire ; visualisation ;
organisation) Appel important à un client à 14h ; envoi d’une dizaine de mails ; poser mes congés
(Visualisation/ anticipation).

Fin de journée, heure des courses. Oui je les fais le mercredi car je sais qu’il y a des promotions
(mémoire explicite épisodique). Bien sûr j’ai oublié la liste à la maison je vais donc devoir me
débrouiller ! Pas de problème je connais le magasin par cœur et je ferai mon trajet habituel ; mais
non ! ils ont changé l’implantation de mes rayons habituels ! (Manipulation mentale ; structuration
spatiale), il faut donc que je me remémore ce que j’ai écrit (concentration ; mémoire de travail ; image
mentale) pour ne rien oublier. Mais à coups surs une fois arrivée à la maison j’aurai oublié un article !
Dans tout ce chamboulement, ma capacité attentionnelle si sollicitée aujourd’hui, montre ses limites
en fin de journée.
Vivement l’heure d’aller me coucher !

Autant d’exemples de nouvelles situations partagées de tous que nos capacités cognitives aident à
affronter sans encombre et dans l’exercice de notre autonomie.
Malheur, le chat a sauté sur la table et a renversé ma tasse de café sur un document important alors
que je suis prête à partir...

Long entretien téléphonique avec un client...et la crèche qui ferme dans 5 minutes...
Je vais me coucher, fatiguée, appel de la meilleure amie en pleine déprime...
Un dîner chez des amis en pleine campagne, hors réseau, GPS muet...je suis complètement perdue

Du lever au coucher, nous les sollicitons pour faire face à tous les aléas, aux imprévus qui ne manquent
pas de se présenter et nous obligent à sortir de notre routine ; ces imprévus vont mettre à l’épreuve
notre humeur et notre capacité à y faire face, donc notre (fonctions exécutives) flexibilité. Il y a des
jours où il est parfois plus difficile de garder son calme, la fatigue, par exemple peut nous rendre moins
flexible et irritable, alors qu’un autre jour, reposés, nous serons plus à même de les gérer.

Nos journées paraissent parfois routinières et banales mais quand l’imprévu s’invite il nous offre son
lot de surprise que nous recevons et analysons selon nos dispositions du moment.
Quand nos fonctions cognitives font défaut nous ne sommes plus en mesures de maintenir notre
autonomie dans une journée dite « banale » et chaque nouvelle situation est une épreuve.
Connaissance et réception de l’information sont (fonctions instrumentales) biaisées ; donc les
capacités d’adaptation face à une nouvelle situation (fonctions exécutives) inadaptées.

Alors si vous voulez maintenir votre autonomie et repousser le déclin à plus loin, n’hésitez pas à sortir
des sentiers battus ! Vous renforcerez vos performances cognitives.
Voilà pourquoi chez ExoStim nous avons le souci de vous accompagner dans la stimulation cognitive
pour maintenir les capacités cognitives mais aussi repousser le déclin dans une démarche préventive.
Ainsi notre application ExoStim vous propose un véritable coach cérébral.

Dans l’application ExoStim nous avons choisi de décliner les 31 fonctions cognitives évaluées sous
forme de 5 thématiques :


- Fonctions instrumentales
- Langage
- Fonctions exécutives
- Fonction visuo spatiale
- Mémoire

Pratiquer régulièrement des jeux de mémoire est primordial pour entretenir et améliorer ses fonctions
cognitives.

A vous de Jouer !

Regardez bien cette image ...

... et mémorisez...

Qu’est-ce qu’il se passe quand je retiens une information ?


1) l’encodage (identifier l’information à retenir)
2) Le stockage (la manière dont on va retenir l’information)
3) La récupération (aller chercher « dans un coin de sa tête » l’information retenue)
4) La consolidation (période durant laquelle le cerveau répète l’information retenue) D’où l’importance
de la répétition ! régularité !

Petit test (à proposer sur une page différente de la précédente) : Pouvez-vous me citer 4 objets
représentés dans l’image du cortex cérébral imagé, représenté précédemment ? (SANS TRICHER !)

29 Oct ExoStim
prevenir-maladie-alzheimer-grace-stimulation-cognitive
Prévenir la maladie d’Alzheimer grâce à la stimulation cognitive.

Pathologie neurodégénérative, la maladie d’Alzheimer entraîne des troubles cognitifs et la perte de la mémoire chez le sujet âgé. À l’heure actuelle, il n’existe aucun traitement curatif. Pour lutter et prévenir cette pathologie, pratiquer une stimulation cognitive régulière est hautement recommandée. Prise en charge non médicamenteuse avec des résultats efficaces, cette sollicitation, souvent réalisée par l’aidant, consiste à faire travailler le cerveau du patient à l’aide d’exercices et de mises en situation.

La stimulation cognitive pour prévenir ou ralentir Alzheimer

Afin de retarder les effets du vieillissement et de maintenir ses capacités intellectuelles, à tout âge, il est recommandé de stimuler ses fonctions cérébrales à l’aide d’apprentissages et d’activités variées. Non sollicité, le cerveau a tendance à perdre des connexions et à décliner.

Dans la cadre de la maladie d’ Alzheimer, la stimulation cognitive constitue un enjeu majeur de prévention mais aussi de ralentissement dans la progression de la maladie. Son approche pédagogique globale permet de préserver la plasticité cérébrale en tenant compte des problématiques cognitives, psychologiques et sociales de la personne âgée. La mise en place d’exercices, de jeux ou d’autres activités sous forme d’ateliers permettant de faire travailler le cerveau donnent d’excellents résultats.

Pour les malades, cette stimulation vise plusieurs objectifs. D’une part, les exercices permettent de ralentir le déclin de la mémoire (visuelle, spatiale et/ou auditive) mais aident également à améliorer les facultés d’adaptation et de concentration des seniors. Cette sollicitation cérébrale peut également aider à détecter les signes de toute autre pathologie concomitante liée à l’âge, permettant ainsi de prendre les mesures adéquates pour retarder son évolution. Par ailleurs, ces activités intellectuelles, agissent sur la capacité des patients à maintenir un lien social ainsi qu’à réguler leurs troubles de l’humeur, ceux-ci gagnant en autonomie et retrouvant l’estime de soi.

La stimulation cognitive, les exercices

La stimulation cognitive est efficace si elle est bien adaptée au profil de la personne âgée. Il est important de tenir compte de ses envies mais aussi de ses capacités intellectuelles. La participation et la réussite de l’exercice y sont à chaque fois valorisées et le malade félicité afin de renforcer sa confiance en lui. Il est conseillé de varier les activités proposées aux seniors afin de mobiliser l’ensemble de ses fonctions cérébrales. Plusieurs types d’exercices sont possibles :

  • Des jeux de réflexion : mots croisés, jeux de logique, puzzles…
  • Des ateliers de compréhension : lecture de journaux, de romans, atelier d’écriture…
  • Des activités créatives : peinture, musique, modelage…
  • Les activités d’orientation : promenade, danse, sorties…

Dans le cadre de la sensibilisation et de la prévention de la maladie d’ Alzheimer, ces activités qui maintiennent la bonne santé des vaisseaux et entretiennent la plasticité cérébrale sont particulièrement adaptées. Qu’elles se déroulent sous forme d’ateliers, de jeux de société mais aussi via une application pour tablette et smartphone, la stimulation cognitive est essentielle dans la prise en charge de cette pathologie. Ludiques, faciles à mettre en place et à prendre en main, développant un ensemble de solutions variées, les nouvelles technologies sont devenues un outil essentiel dans l’accompagnement des malades de troubles cognitifs.

Des applications numériques, à l’instar d’ExoStism, permettent de pratiquer des exercices ludiques adaptés à différents niveaux cognitifs. Développée à destination des psychologues, ergothérapeutes, psychomotriciens et autres professionnels paramédicaux, cette solution permet d’accompagner des malades seuls ou en groupe, à domicile ou en structure médicalisée, selon un programme (préconisé, à la carte ou aléatoire) personnalisé en fonction de leur profil. Reconnu comme un véritable dispositif médical, ce coach cérébral permet de stimuler la cognition (mémoire, attention, langage…) et de lutter contre les troubles du comportement. Disponible sur tablette (iOS et Android), ExoStim bénéficie d’un accompagnement (formation et suivi opérationnel).

À noter : Réalisée par un personnel spécialisé, souvent l’aidant, la stimulation cognitive se pratique individuellement ou en petits groupes homogènes aux stades léger à modéré de la maladie.

26 Oct Professionnel
mettre-place-vieux
Se mettre à la place des vieux


  • « Mon papy me demande de répéter au moins 3 fois mon prénom ou mon âge à chaque que je le vois...»
  • Mamie il faut appuyer sur la pédale de droite ! C'est 80 km/h sur la nationale ! »
  • « A la caisse du supermarché un vendredi à 17h30. Une attente interminable et devinez ce qu’il se passe ? Une grand-mère a décidé de payer ses courses en petite monnaie ! » 
  • « Papy, encore une fois, ça s’envoie comme ça les sms ! »

Ces situations du quotidien, nous y sommes tous confrontés.

Ça peut nous irriter, voire nous exaspérer et cela participe inconsciemment à ce que l’on appelle en réalité « l’âgisme ». 

 

C’est une forme de discrimination à l’encontre d’une personne à cause de son âge. Ce phénomène est malheureusement très répandu dans notre société et il se caractérise majoritairement par des stéréotypes ou des idées reçues sur les personnes âgées. 

 

Le plus souvent, l’âgisme vient de notre part, les proches. Nous réagissons à la perte d'autonomie par de la colère et inversons même parfois les rôles. Lorsque nous devons apporter des soins à nos aînés, nous nous projetons vers notre propre vieillesse et vulnérabilité. 

 

Nous sommes également moins patients par manque de temps et de compréhension de l’autre. Nos ainés sont à une étape de leur vie où ils dépendent de plus en plus des autres, même pour leurs activités du quotidien et leurs habitudes changent… Nos parents ont des besoins que nous ne comprenons plus, notamment par manque d’informations ou par déni de leur vieillesse.

 

Pour la personne plus âgée, subir ces stéréotypes ainsi qu’un regard dévalorisant sur sa vieillesse ne l’aide pas à reconnaître son besoin d’aide ou la perte de certaines de ses capacités. Elle a en quelque sorte honte de vieillir. Ces représentations négatives ont de nombreuses conséquences et peuvent mener à une forme de mauvais traitement dans la société.

 

Mais la vieillesse n’est pas une maladie, c’est un processus que nous allons tous connaître. 

 

Alors pourquoi les personnes âgées ne réagissent plus aussi rapidement qu’auparavant ou retiennent plus difficilement les informations ? 

 

Au fil des années, le cerveau vieillit inévitablement, le nombre de neurones décroît, l’influx nerveux décline.

 

Cela s’accompagne souvent par le déclin des fonctions cognitives. Elles correspondent aux capacités de notre cerveau à entrer en interaction et à s’adapter à notre environnement (mémoire, raisonnement, concentration, etc.).

 

Le traitement des informations par les personnes âgées est donc ralenti et a pour conséquences des oublis, des troubles de la mémoire ou des problèmes d’attention.


C’est pour cela que notre papy peut nous faire répéter plusieurs fois notre prénom ou notre âge !

 

Cependant, le cerveau fonctionne comme un muscle, plus nous le stimulons régulièrement, plus nous anticipons l’apparition de ces troubles cognitifs. Mieux vieillir passe par la pratique de différents exercices, de jeux ou encore de simples activités permettant de faire travailler le cerveau.

 

C’est normal de vieillir !

 

Après tout, lutter contre l’âgisme, c’est adopter une attitude très simple. Il suffit de ne plus stigmatiser les personnes par leur âge, par ce qu’elles représentent. Apprenons à nous mettre à leur place, faire preuve d’empathie, de bienveillance et nous adapter à leur rythme. 

 

En les incitant à stimuler leurs fonctions cognitives, par la pratique de jeux ou de diverses activités au quotidien, nous les aidons à prévenir leur potentiel déclin cognitif et à mieux vieillir. 

 

Il est important de rappeler que ces personnes ont une vie derrière elles, une personnalité, des avis et un vécu. Pour lutter contre les stéréotypes, il faut se comporter comme avec toute autre personne en leur témoignant considération et respect. Nous y passerons tous !

 

 

A retenir “être vieux, c’est être jeune depuis plus longtemps que les autres !”

Philippe Geluck

16 Jan Particulier
parce-prevenez-etes-vieux
Ce n'est pas parce que vous prévenez que vous êtes vieux !

Je les entends penser mes amis quinquas !

Ils sont super fiers de voir mon engagement avec ExoStim.

ExoStim, tous en sont convaincus mais pour leur parent !

  • « Oui ma mère ne m’écoute pas, elle perd la mémoire, elle me fait répéter. »
  • « Mon père a des absences, je vois bien qu’il n’est pas concentré lorsque je lui parle. »
  • « Mes parents perdent la boule depuis qu’ils sont à la retraite. »

Oui, mais, mes chers amis, vos parents c’était vous, il y a 20 ans !

Vos parents ne se sentaient pas concernés à cette époque. Actifs, sportifs, travailleurs.

Quel intérêt de prévenir un déclin cognitif qui ne se voit pas ?

Parce que mes chers amis, savez vous que le déclin cognitif débute vers l’âge de 45 ans ?

Alors on ne s’en rend pas compte car on travaille, la vie sociale est bien présente, mais les cellules elles « dégénèrent ». Imaginez une fois à la retraite… Plus aucune activité professionnelle, moins d’interactions sociales, moins la possibilité de se stimuler au quotidien. Pour beaucoup c’est un choc ! Et ce choc est parfois si violent que les fonctions cognitives qui n’ont pas été stimulées jusque-là, déclinent en un rien de temps.

Prévenir des trucs de vieux c’est utile ! Nous y passerons tous. 

Peut être sommes nous conditionnés par ce Marketing qui veut à tout prix nous rendre plus jeune. Solution anti-âge (quésaquo ? qu’est ce qui empêche de vieillir ?), crème Anti Ride (non c’est pas vrai, à moins de faire quelques injections.)

Même le marché du naturel s’y met, alors que, quoi de plus naturel de vieillir et bien !


Vieillir est une belle chose inévitable mais ça s’entretient ! Ne luttons pas contre le vieillissement, accompagnons le. 1 français sur 2 est inquiet pour son propre vieillissement cognitif. La fameuse peur de l’Alzheimer. Mais ce même français, a peur de paraître vieux s’il répond à son inquiétude.

Je dis Stop !

Vous n’attendez pas de vous casser une jambe pour faire du sport ? Vous le sentez? Qu’il est un plus plus dur de se déverrouiller le matin au réveil ?. Et si vous ne faites rien, ce sera de plus en plus difficile de se lever. Pour vos neurones c’est pareil ! Entretenez les, faites les bouger et pas que là ou ça vous fait plaisir. Car les applications comme Candy Crush, les mots croisés, les sudokus ne stimulent qu’une infime partie de votre cerveau.

Or, pour reculer ce déclin vous devez tout faire travailler. Reculer le déclin de la mémoire, de l’attention, du repérage dans l’espace. Variez votre stimulation et au plus tôt !

Faisons en sorte que nos enfants ne nous voient pas comme nous voyons nos parents aujourd’hui.

Alors mes chers amis, mes futurs vieux, ne nous oublions pas, et faisons de notre vieillissement une belle étape de vie !

Ecrit par Jennifer Benattar, Directrice Générale ExoStim

15 Dec ExoStim
exostim-provence-parution-17-11-2022
ExoStim dans La Provence ! Parution du 17/11/2022

Le premier article officiel du lancement de la nouvelle application ExoStim dans le journal La Provence !


25 Nov Presse

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